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Fermer17/05/2016
Lorraine de Montlebert
30 €
17/05/2016
Therese Besse
150 €
16/05/2016
jean-marie imbert
70 €
16/05/2016
Marie Chantal AMADIO
30 €
16/05/2016
Emma TRESSE
70 €
15/05/2016
Noëlla Ruban
promesse
70 €
15/05/2016
yves vasseur
70 €
15/05/2016
Jacques Davy
70 €
14/05/2016
Robert HOLVOET
50 €
1
14/03/2022
CCFD - Terre Solidaire
Créateur de la page
21/06/2016
Tadam'; ... la boîte !!
Vous étiez impatients de savoir à quoi allait ressembler Pêche qui peut! ? Nous aussi !!
Voici, en avant première, une petite idée de la boite finale du jeu !
Ca sent vraiment la fin ...
D'ici 3 jours, l'ensemble du jeu partira à l'impression !
Et la collecte ?
J-5 et nous frôlons les 4600 euros ! ... Il manque 400 euros pour atteindre notre objectif.
L'argent supplémentaire servira aussi la bonne cause ! Il sera utilisé pour démarrer la fabrication d'Océampathie !
Vous êtes emballés par notre projet? Faites le savoir ! Parlez en autour de vous !
C'est grâce à vous que nous atteindrons notre objectif !
Vous avez déjà notre plus grande reconnaissance !
Pour le groupe mer, Marie do
CCFD - Terre Solidaire
Créateur de la page
16/06/2016
J-10 : dernière ligne droite !
En cadeau : l'illustration finale du casier !
Les nouvelles de Pêche qui peut ?
L'équipe a peaufiné les textes qui vous donneront toutes les infos sur la pêche et l'aquaculture. Et c'est maintenant Stéphanie Yverneau, la graphiste qui boucle les cartes. Elle finalise également la boite en ce moment. Ça sent bon la dernière ligne droite !
Coté collecte, on est à J-10 ... et il manque 800 euros ! On se rapproche très très près du but !
Vous avez été exceptionnels !.... SI vous en avez l'envie, continuez à donner un coup de pouce au projet en transmettant l'info, en causant autour de vous de Pêche qui peut!, en donnant une somme même petite !
Et si jamais nous dépassons les 5000 euros, l'argent servira à finaliser le jeu Océampathie sur la mer et le climat. Un super défi !
Un formidable merci à vous !
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14/06/2016
Mortalité des huitres et des moules : qui est responsable?
Les 9 et 10 juin derniers ont eu lieu les assises de la mer aux Sables d'Olonne.
Un des sujets abordés : la mortalité des huitres et des moules.
Voici la chronique de Nathalie Fontrel de France Inter du 9 juin sur ce sujet :
"Je suis un paysan de la mer. C’est ce que m’a dit hier Jean François Périgné mytiliculteur à l’île d’Oléron. Mais contrairement aux agriculteurs il ne cultive pas : il cueille ce que l’océan lui donne. Et depuis des années, il récolte des coquillages morts.
La mortalité des huîtres et des moules peut atteindre 100% sur certains littoraux. Une hécatombe !
Elles semblent victimes de deux bactéries devenues pathogènes alors qu’elles vivaient en parfaite harmonie avec les coquillages depuis des décennies.
Et pourquoi ?
Jean François a son idée. Elle n’est pas facile à expliquer à ses amis de la Confédération Paysanne qui en majorité cultivent la terre. Mais il plaide : « La goutte d’eau qui passe dans votre ferme et dans vos champs finit sa course dans la mer. Sa qualité dépend de vos pratiques ». Et là on entend « pesticides ». Encore et encore et toujours les mêmes produits accusés. Les fleuves et les rivières sont les racines de la mer, elle s’en nourrit. Alors évidemment si on lui donne du poison à manger, elle n’est plus en bonne santé et ses habitants coquillages et poissons non plus. Il évoque aussi le réchauffement des eaux à cause du changement climatique.
Mais que disent les scientifiques ?
Ils ne savent pas expliquer cette mortalité. IFREMER l’institut de la mer y travaille.
Mais en laboratoire. Pas dans le milieu naturel. Et leurs conclusions ne sont pas conclusives. Les bactéries sont elles devenues virulentes ? Les coquillages plus sensibles. Sylvie Lapegue chercheuse à IFREMER s’interroge. Et cherche avec ses équipes. Ils n’ont pas la réponse.
IFREMER est accusé d’avoir introduit des espèces d’huîtres plus fragiles.
Les tripoïdes. Manipulées pour ajouter un lot de chromosomes en plus que les huîtres naturelles.
Elles sont élevées sur terre et sont stériles. Certains amateurs d’huîtres n’aiment pas quand elles sont laiteuses, prêtes à se reproduire. Celles là n’ont plus cette possibilité. Elles conviennent mieux au goût des consommateurs.
Mais Ifremer affirme qu’elles ne sont pas à l’origine des maladies et qu’elles aussi en souffrent et en meurent."
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09/06/2016
L'illustration finale de la SENNE ARTISANALE en bonus !
Pêche qui peut ! est quasiment finalisé...!
A partir des illustrations de Florence Thuillier, Stéphanie Yverneau a travaillé un code couleur et mis en valeur les illustrations.
En avant première : voici un membre de la famille " engins de pêche" : la senne artisanale !
Il s'agit d'un filet, formant un arc de cercle autour du banc de poisson.
Pour connaître tous les autres engins de pêche et les autres illustrations, il faut que le jeu soit imprimé.
Et c'est grâce à vous qu'il le sera !
Merci pour votre soutien, pour avoir transmis l'info autour de vous, pour avoir parlé du projet, pour avoir partagé sur facebook...
Un formidable MERCI !
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07/06/2016
La pêche artisanale face à la pêche industrielle en Afrique de l'Ouest
Aujourd'hui, une parole de partenaire : Moussa Mbengue, sénégalais, secrétaire exécutif de l'association ADEPA nous parle de l'importance de la pêche artisanale en Afrique de l'Ouest :
Pour voir la vidéo, cliquer sur le lien suivant : https://vimeo.com/169670059Nous sommes à 77% de notre objectif !!!
Merci de votre très grand soutien !
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06/06/2016
ZOOM SUR STEPHANIE YVERNEAU, GRAPHISTE
Diplômée de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Nancy en 2001, je démarre à Paris, auprès de Malte Martin et le groupe « Nous Travaillons Ensemble ». Quelques années plus tard, j’installe mon atelier graphique à Moriville, petit village au cœur des Vosges.
Je suis engagée dans plusieurs associations d’éducation populaire depuis longtemps. Marquée par le groupe de graphistes Grapus qui considère le graphisme comme d’utilité publique, se situant dans la culture et non dans la publicité, j’exerce essentiellement mon métier dans le domaine culturel, associatif, institutionnel.
Il est important de savoir pourquoi on veut se lancer dans un projet : quel sens il a pour nous, pour la société ? Ensuite, on peut y mettre toute sa force.
En charge de la conception graphique des cartes du jeu de 7 familles, je suis ravie de participer à la création de cet outil d’animation ludique et accessible, qui permettra de sensibiliser au respect de la mer, de l’environnement.
CCFD - Terre Solidaire
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03/06/2016
Le stock annuel de poisson français est épuisé
Depuis ce lundi 30 mai, les français ont consommé l’équivalent de toute leur pêche et leur aquaculture annuelle (cf Ouest France de lundi).
Tout le reste (plus de 60% de la consommation de poissons) provient d’importation.
Le groupe de réflexion britannique (Think thank ) New Economics Foundation tire le signal d’alarme.
Dans les années 90, le stock annuel était épuisé en neuf mois, contre cinq aujourd’hui. Depuis 30 ans, ce jour ne cesse d’avancer.
Selon New Economics Foundation, il y a toutefois des « raisons d’être optimistes » puisque la consommation de poissons en Europe n’a « pas augmenté autant qu’attendu depuis quelques années et certains stocks de poissons de l’Union Européenne ont cessé de s’effondrer".
Il rappelle cependant que consommer plus de poisson serait « insoutenable et injuste ».
Comme le rapporte Ouest France, le think thank estime toujours que « augmenter la consommation de poisson, dans un contexte de surexploitation des stocks, est insoutenable pour l'environnement et socialement injuste. L'Union européenne bénéficie de mers hautement productives, qui ont le potentiel pour fournir, de façon stable et à long terme, des poissons, du travail et tous les bénéfices sociaux et économiques qui en découlent. Mais seulement si ses ressources halieutiques sont gérées de façon responsable. »
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01/06/2016
Les réponses au mini quiz Pêche qui peut !
La farine de poisson sert à faire le pain. FAUX
La farine de poisson est riche en protéines, ce qui la rend facile à digérer pour les mammifères et oiseaux (Etude de la farine de poisson. Collaboration Intepêche/Ifremer).
Elle est essentiellement utilisée dans les élevages industriels (volailles, bœufs, porcs, lapins…). Elle est également appréciée en pisciculture.
Elle peut servir pour la production de nourriture pour animaux de compagnie (chats, chiens).
Elle est aussi utilisée comme composant de laits artificiels pour jeunes animaux d’élevage, dans certains compléments alimentaires, ou encore dans certains engrais (wikipédia).Tous les poissons peuvent être élevés en aquaculture. FAUX
Seuls certains poissons peuvent être élevés : ceux dont on maîtrise bien le cycle de vie et qui s’adaptent aux conditions de l’élevage («Poissons d’élevage, poissons sauvages» Lionel Astruc). La sardine par exemple n’est pas un poisson d’élevage.
Par ailleurs, certaines espèces sont difficiles à aborder en captivité : orques et baleines par exemple sont trop gros et difficiles à domestiquer, le bouquet et le homard sont eux trop cannibales et le rouget et le barbet par exemple sont trop fragiles à manipuler (Livre de Michel Girin "les poissons d'élevage sont-ils stressés? 80 clés pour comprendre l'aquaculture").
La qualité des poissons dépend de la technique de pêche utilisée. VRAI
Plus la méthode de pêche est sélective, meilleure est la qualité du poisson (le pêcheur choisit l’espèce qu’il veut pêcher, ainsi que l’âge et la taille du produit pêché).
La ligne, par exemple, est une méthode de pêche sélective. C’est une corde équipée d'un à plusieurs hameçons selon l'espèce ciblée. Elle peut être montée sur une canne à pêche ou tractée depuis un bateau, on parle alors de ligne de traîne.
Au contraire, le chalut est un engin peu sélectif qui préserve mal la qualité du poisson (les premiers poissons capturés sont écrasés par les suivants dans le fond de la poche du chalut). Le chalut est grande poche de filet qui est traînée par un chalutier à basse vitesse (3 ou 4 nœuds). Il est maintenu ouvert par des planches (panneaux). Il est en général traîné pendant une ou plusieurs heures et capture tous les poissons qui ne peuvent s’échapper au travers des mailles du filet.
Le capitaine est un poisson. VRAI
Le capitaine est un gros poisson que l’on trouve en Afrique de l’Ouest (notamment en Casamance au sud du Sénégal). C’est un poisson surtout pêché en surfcasting (« sous la vague »). C’est une pêche connue par les pêcheurs en quête de sensations.
Le surimi est un poisson du Japon. FAUX
Le surimi est souvent appelé « bâtonnet de crabe ». C’est en réalité est un produit alimentaire réalisé à base de chair ou de pâte de poisson, appelée 擂り身 (surimi, « poisson haché ») en japonais.
La composition typique d’un « surimi » vendu en France : Chair de poisson (30 à 40 %). Eau (30 à 40 %). Fécule de pomme de terre ou amidon de blé transformé (5 à 10 %). Blanc d'oeuf réhydraté (0 à 10 %). Huile de colza (3 à 6 %). Stabilisants : sorbitol, polyphosphates ou sucre (jusqu'à 3 %). Sel ou glutamate de sodium (0,5 à 1,5 %). Arômes naturels ou artificiels (contient crustacés, mollusques, poissons) (1 %). Paprika (colorant naturel orange) (0,1 %)
Tous les coups de pouce sont utiles pour arriver à la fabrication de Pêche qui peut !
MERCI !!
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30/05/2016
Mini Quiz sur la pêche à faire en famille !
VRAI OU FAUX ?
La farine de poisson sert à faire le pain.
Tous les poissons peuvent être élevés en aquaculture.
La qualité des poissons dépend de la technique de pêche utilisée.
Le capitaine est un poisson.
Le surimi est un poisson du Japon.
Toutes les réponses sont dans le jeu de 7 familles !
Et ici le 1er juin ;-)
Merci de votre soutien !